Depuis plusieurs années, les logiciels d’aide à l’écriture se sont multipliés, offrant une palette de fonctionnalités relativement similaires et destinés à l’écriture de scénarios, de romans ou de textes en général. Hélas, la plupart de ces logiciels ne possèdent pas de version française, ce qui rend leur accès difficile pour la plupart des utilisateurs francophones. Cet article décrira Scrivener, que de très nombreux auteurs considèrent comme le meilleur, et qui présente l’avantage incomparable d’être traduit dans notre langue. Je précise d’emblée que Scrivener est payant (40 € environ).

La concurrence (sur Windows)

Je présente ici quelques-uns des logiciels d’aide à l’écriture concurrents de Scrivener. Pour la plupart, je ne les ai pas essayés.Je renvoie donc les intéressés à des articles qui les évoquent avec plus de détails : un article de Lionel Davoust et la page de liens de Litterature & Latte, l’éditeur de Scrivener.

Pourquoi choisir Scrivener ?

La plupart des auteurs commencent par écrire sur un traitement de textes, disposant d’une foule de fonctions inutiles dont beaucoup relèvent de la mise en page. Mais l’écriture d’un roman, d’une pièce de théâtre, d’un scénario de film ou d’un ouvrage pratique engendre beaucoup de documents secondaires, dont la manipulation se révèle vite délicate.

Un exemple concret : vous écrivez un roman, premier d’une série, situé dans un monde imaginaire. Vous avez soigneusement écrit la biographie de vos personnages, des descriptions des lieux, un synopsis détaillé et peut-être des notes dramaturgiques sur le retournement dramatique présent dans une scène. Votre travail vous amènera par ailleurs à effectuer des recherches, par exemple sur la culture de la vigne ou le travail du forgeron. Dans le cours de votre écriture, vous accumulerez aussi différentes versions d’un chapitre ou d’une scène. Enfin, vous aurez besoin d’écrire quelques notes de réécriture, qui vous serviront quand vous relirez un passage.

Dans un traitement de textes, chaque note, fiche ou document existera sous la forme d’un fichier individuel. Vous pourrez parfois accéder à plusieurs fichiers dans les onglets du logiciel, mais ils demeureront séparés et vous serez obligés de les ouvrir séparément. Cette manipulation de fichiers, peu propice à la gestion de vos idées, entraînera en outre de nombreuses distractions et pertes de temps.

Dans Scrivener, ces divers documents sont intégrés dans la structure même de votre projet, correctement classés dans des dossiers accessibles en un seul clic. Tous les renseignements dont vous avez besoin accompagneront votre écriture jusqu’à la fin et pourront aisément être exportés, partagés, réagencés en fonction de vos besoins.

Deuxième avantage : cette masse de documents, de notes, de fiches et de scènes peut aisément être mise en ordre pour créer une compilation sur mesure. Par exemple, vous pouvez décider de créer un document final à partir d’un groupe de variantes, que vous activez ou désactivez en un clic.

Scrivener : l’interface et les fonctionnalités

L’espace de travail

L’espace de travail principal de Scrivener se compose de deux ou trois parties (il est possible de désactiver l’inspecteur) :

Espace de travail de Scrivener
Scrivener en mode babillard

Ajoutons à ces trois partie la barre des menus et les icônes d’accès rapide, parmi lesquelles se trouvent deux fonctions essentielles : Mode plein écran et Compiler.

Le gestion des idées, des recherches, des fiches et des synopsis

L’explorateur de Scrivener (colonne de gauche) est structuré comme un trieur, comportant des dossiers, des sous-dossiers et des fichiers. Un chapitre, par exemple, sera le plus souvent un sous-dossier réunissant un certain nombre de scènes.

Quand vous cliquez sur ce dossier, son contenu apparaît sous la forme de fiches posées sur un tableau de liège (vous pouvez changer l’image d’arrière-plan.) Comme des fiches cartonnées, celles-ci possèdent une partie supérieure, destinée à recevoir le titre, et une partie inférieure où vous écrivez le texte de la fiche. En pratique, ce texte représente la partie du synopsis couverte par la fiche.

On peut attribuer à chaque fiche une catégorie (Fiche de personnage, Scène, Fiche de lieu, etc.) et un statut (Premier jet, Deuxième jet, version révisée, etc.) Les catégories ajoutent  des indications colorées au coin des fiches. Les statuts, quant à eux, s’affichent en travers du texte. Grâce à cette couche visuelle, l’organisation de votre dossier est immédiatement visible, avec la possibilité de modifier très facilement le disposition des objets.

Quand vous cliquez sur une fiche ou un dossier, les synopsis ou résumés des chapitres et des scènes demeurent visibles, mais ils apparaissent désormais en haut de la partie droite de l’interface.

Le bablillard de Scrivener, avec le menu contextuel
Le bablillard de Scrivener, avec le menu contextuel

Le traitement de textes

Scrivener dispose des fonctions de base d’un traitement de textes. Styles, polices, alignement, surlignage, tableau, listes numérotés, correction orthographiques : l’essentiel s’y trouve, même si les habitués de Word ou de LibreOffice risquent de se sentir un peu à l’étroit. Il faut bien avouer que sur ce point, Scrivener mériterait d’être davantage développé.

Le traitement de textes de Scrivener
Le traitement de textes de Scrivener

Le mode plein écran

Comme plusieurs de ses concurrents, Scrivener propose un mode plein écran, permettant la frappe au kilomètre sans distraction. Le texte apparaît alors tout seul, et les fonctionnalités sont accessibles par le biais d’une barre inférieure rétractable. Vous pouvez également choisir une image de fond d’écran, afin d’agrémenter et de personnaliser votre expérience d’écriture.

Scrivener : mode plein écran
Scrivener : mode plein écran

L’importation et l’exportation des documents

Les capacités d’importation de Scrivener sont relativement limitées :

Une innovation intéressante : un texte peut être importé et fractionné automatiquement en chapitres ou scènes. Il suffit pour cela de choisir un caractère qui indiquera l’endroit où le fichier doit être fractionné et de le placer entre chaque partie.

Les compilations

Une fois vos différentes parties rédigées, vous pouvez avoir envie de les lire sous la forme d’une continuité. Le logiciel vous permet de prévisualiser ce texte suivi à l’écran, en y incluant toutes les scènes que vous avez choisies.

Il est également possible de compiler le texte en lui donnant une forme définie, comme celle d’un manuscrit standard, d’un livre de poche, d’un ebook, d’un scénario ou de tout autre forme que vous définissez. Après avoir choisi la forme, vous pouvez également choisir le format du fichier.

Scrivener : fenêtre de compilation
Scrivener : fenêtre de compilation

Adaptable à l’infini

Personnalisation de l’interface et des dossiers

Dans Scrivener, un grand nombre d’éléments peuvent être personnalisés :

Vous pouvez réellement vous composer un environnement de travail qui vous ressemble, et le sauvegarder ensuite sous forme de modèle, ou bien adopter un environnement différent pour chaque projet.

Sauvegarder sur Dropbox

Scrivener sauvegarde automatiquement les projets dans un dossier spécifique contenant tous les fichiers correspondant. Il effectue également une sauvegarde de ces fichiers et dossiers sous un format compressé à chaque fermeture du projet.

Vous pouvez choisir l’emplacement de cette sauvegarde compressée sur votre ordinateur. Si vous craignez de perdre vos précieux fichiers, vous pouvez ouvrir un compte Dropbox, installer le logiciel pour PC et diriger la sauvegarde Scrivener vers le dossier Dropbox de votre ordinateur, qui sera automatiquement synchronisé avec votre compte.

Où trouver Scrivener en français ?

Litterature & Latte n’a pas traduit son site en français, et ne communique pas sur les langues disponibles. Le français en fait pourtant partie, sans obligation d’installer un fichier de traduction. Vous pouvez modifier la langue dans le menu Tools (Outils) > Options.

Voici la page d’achat (39,15 € à l’heure où j’écris ces lignes) de Scrivener pour Windows :

https://store5.esellerate.net/store/checkout/CustomLayout.aspx?s=STR5463446766&pc=&page=MultiCart.htm

Scrivener existe également en version Mac et Linux (Merci Azel Bury).

Il est également possible d’essayer le logiciel avant de l’acheter :

https://www.literatureandlatte.com/trial.php

 Mon cadeau : un modèle Scrivener en français

J’ai longtemps cherché comment partager un modèle sur Scrivener. Comme toujours avec ce logiciel, la fonction existe, même si elle ne fait pas partie de celles que l’interface rend facilement accessibles. Voici le chemin pour intégrer mon modèle à votre logiciel :

Fichier>Nouveau projet>Boutons « Options » en bas à gauche de la fenêtre>Importez des modèles

Vous accéderez alors à une fenêtre qui vous permettra de choisir le fichier.

Télécharger le modèle

 

60 réponses

  1. Merci pour votre modèle pour Scrivener. Pour le User Manual de 340 pages en anglais (sic!!) s’il existe un accès pour une traduction francophone, je suis preneur. Merci d’avance avec mes amitiés littéraires.

      1. Merci! Ma fille teste la version test de scrivener. Elle est déçue parce que tout n’est pas en français et que lorsqu’elle écrit, tous les mots sont soulignés comme s’ils étaient mal orthographiés. Est-ce que la version payante est meilleure? Y-a-t-il un réglage qu’elle n’aurait pas vu?

        1. Bonjour Marie,
          A priori, l’interface peut être réglée sur le français, avec les dictionnaires correspondants. Mais les modèles restent en anglais, et le logiciel n’a toujours pas été mis à niveau pour Windows. Autrement dit, le développement a pris un très grand retard, et les concurrents ne tarderont pas à se manifester.

          1. Bonjour, pour éviter d’avoir tous les mots sous-lignés en rouge il faut soit :

            – désactiver l’option « vérification de l’orthographe pendant la frappe » dans l’onglet Outils>Options>Corrections.

            – changer le dictionnaire de correction pour le français. Outils>Options>Corrections>Dictionnaire>Télécharger>French puis éteindre et rallumer le logiciel, et retourner dans Corrections>sélectionner>french

  2. Writing Outliner Word 1_6_20_803 n’est pas compatible Word 64 bits
    OS : Microsoft Windows 8, 7, Vista, XP and 2000 (32-bit and 64-bit)
    Microsoft Word 2013/2010(32 bit only), 2007, 2003, 2002 and 2000
    Language : English

    La version Béta wordoutliner_0.8.6.150.exe qui est censée être en 64 bits est tellement buggée que je n’ai pas réussi à l’installer sur
    Word 2013

  3. Bonjour,
    je cherche un logiciel , plutôt en Français (aide et tutoriel aussi), d’écriture de livres multimédias :
    – texte, tableaux, tableur lié à Excel, sons, images, vidéos, , formes, diagrammes, liens Internet
    – fonction statistique, poids du livre, nombre de pages, de mots, répétitions
    – fonction de gestion de plusieurs livres, chapitres et pages par onglets visibles, ajout/suppression des chapitres, pages
    – formatage et mise en page possibles comme dans Word, Onenote, ou logiciels de PAO : orthographe, synonyme, style ..
    – possibilité de dictée vocale directement depuis Dragon NaturallySpeaking
    – possibilité d’écriture de termes mahématiques, équations
    – enregistrement automatique du document (comme dans Onenote), pour éviter de perdre des données
    – prise de notes rapides pour se rappeler de certaines éléments : texte, sons, images, vidéos, liens Internet
    – possibilité de capture multimédia depuis diverses sources multimédias : Internet, fichier PDF, Ebook
    – possibilité de rechercher/remplacer des mots par des mots liés renvoyant vers d’autres parties du document ou Internet
    – possibilité d’annotation graphique du document sur une couche ou calque, pouvant être désactivé à l’impression finale
    – publication par pages, chapitre, livre entier, aux formats : Word, PDF, Ebook, ..
    – publication possible par pages, chapitre, livre entier, sur site Internet sous WordPress ou autre

    Pour info:
    -Onenote n’a pas la fonction rechercher/remplacer des mots par des mots liés
    – Word n’a pas la fonction avec les chapitrages visible par onglet
    – Writing Outliner 1.6 n’est pas compatible 64 bit
    – Wordoutliner_0.8.6.150 est buggé et ne s’installe pas avec Word 2013 64 bits
    – Liquid Story et Scrivener sont en tests mais n’ont pas la dictée directe sous Dragon ( faut passer par ‘boite de dictée’ > plus lourd)

    Merci de m’avoir lu et de vos réponses.

    1. Bonsoir,
      À priori, ce n’est pas possible. La fonction annotations existe, mais Scrivener ne contient aucun dispositif de dictée.

  4. Bonjour,

    Merci pour cet article et pour votre blog !

    Je suis sur Windows et je me mets tout juste à Scrivener pour y importer un projet de roman, qu’il me devenait difficile de gérer avec Word….

    Comme pour chaque logiciel que j’aborde, j’ai besoin de savoir exactement où se trouvent mes fichiers, en cas de plantage du soft ou éventuelle décision de ne plus l’utiliser. Ici, les fichiers de texte importés ou tous les nouveaux textes ajoutés via le classeur, atterrissent (dans mon explorateur) dans le sous-dossier « Docs » du dossier « Files » : jusque là pas de souci donc, puisque je peux donc y récupérer mes fichiers textes, indépendamment du passage par le logiciel.

    Le problème c’est que Scrivener leur attribue un chiffre en guise de nom de fichier : il remplace le titre du fichier original par ce chiffre ou attribue un chiffre à chaque nouveau fichier texte créé via le classeur. Si j’attribue un nouveau titre au fichier, cela fait disparaître carrément mon texte du fichier à la prochaine ouverture ! Au cas où j’aurais besoin de récupérer mon projet de roman dans un autre contexte, je me retrouve donc avec des dizaines de fichiers qui ont pour titre un numéro (aléatoire, puisque même si j’ai modifié l’ordre de mes chapitres, les titres de ces fichiers restent les mêmes). Sans les titres originaux de mes chapitres, il me sera alors très difficile de m’y retrouver dans mon propre projet !

    Connaissez-vous un moyen de conserver les titres souhaités pour ces fichiers bruts ?

    Merci d’avance !

    Fabien

    1. Bonjour Fabien,

      J’avais déjà constaté ce que vous décrivez. D’une manière générale, Scrivener est devenu obsolète, parce que les développeurs ont raté une évolution nécessaire : celle du cloud. Dans un mode numérique en évolution constante, où les utilisateurs éprouvent de plus en plus le besoin de synchroniser leurs documents sur plusieurs machines, plusieurs plateformes et plusieurs systèmes d’exploitation, Scrivener ne convient plus.

      Concernant votre question, je n’ai pas de solution dans Scrivener. Par contre, vous pouvez utiliser les documents-maîtres de Word ou de LibreOffice pour atteindre le résultat que vous cherchez. Ces documents peuvent être sauvegardés localement, sur OneDrive ou sur n’importe quel cloud, et il existe des applications pour les lire sur n’importe quelle plateforme.

      Bien cordialement,

      Guy

      1. Bonjour Guy,

        Si Scrivener est devenu obsolète, quel logiciel nous proposez -vous ? car j’étais prête à l’acheter il y a 5 minutes, avant de lire votre message.
        Merci pour votre réponses
        bien cordialement

        1. Bonsoir,
          Je précise ma pensée : Scrivener est devenu obsolète sur un plan technique. Pour tous ceux qui travaillent sur plusieurs plateformes et avec des services de cloud, ses limitations le rendent moins utile. Il reste cependant le logiciel d’écriture le plus intéressant, tant qu’on se contente d’un seul PC ou Mac.
          Je n’ai pas encore trouvé d’alternative complète. Je me sers de plus en plus de OneNote (gratuit), mais je dois reconnaître qu’il manque beaucoup de fonctions.
          Bien à vous,
          Guy Morant

          1. Bonsoir. Nous sommes maintenant en 2020, avez-vous trouvé des alternatives disponibles en français, et éventuellement gratuites?
            Merci beaucoup.

    1. Oui, c’est ce que je fais. Le problème, c’est que cette sauvegarde ne peut pas être utilisée sur toutes les plateformes. La version 3 renforcera cette fonction, mais il n’y a toujours pas de version Android. Et je ne suis pas sûr qu’en ouvrant la sauvegarde avec un autre PC ou Mac, le texte original en soit modifié correctement.

      1. Bonjour,
        Désolé si j’enfonce une porte ouverte mais je voudrais être sur de bien comprendre ce « problème » de sauvegarde. En effet j’ai l’impression que Scrivener pourrait me convenir mais je redoute toujours la sauvegarde des fichiers sur sur un seul support. Cf les photos de famille ou autres : je les ai sur un ordi + un DD externe.
        Là, si je me sers d’un ordi pour utiliser Scrivener, existe-t-il un moyen d’exporter régulièrement le travail effectué vers un DD externe ou un autre ordi non pourvu de Scrivener et de le récupérer sous une forme exploitable si l’ordi équipé de Scrivener était « défaillant » ? (ou volé, perdu ,etc..). En sachant que je ne suis pas fan de la sauvegarde sur le « cloud ».
        Merci d’avance de vos réponses.

        1. Bonjour,
          La seule façon de s’assurer que la sauvegarde est automatique est de sauvegarder sur un cloud. Les dossiers Scrivener sont assez légers ; Dropbox en version gratuite serait suffisant pour un tel usage. Sinon, il est possible d’installer une solution de synchronisation comme Synthing ou SyncTrayzor.

  5. Bonjour,

    Merci beaucoup pour votre article super détaillé.
    J’ai un roman que j’ai commencé il y a bientôt 15 ans, et je n’arrive pas à m’y remettre, pour tout un tas de raisons, par conséquent je me suis mis à la recherche d’un logiciel pouvant satisfaire mes besoins.
    Renseignement du background du monde, des personnages, ligne du temps etc…
    En revanche j’aurais aimé avoir la possibilité d’afficher les noms des personnes avec divers couleurs, les reliant à leur fiches respectives.

    Est-ce que vous pensez que le logiciel saurait faire ça ?

    Et ensuite, une question plus orientée dans l’écriture en général.
    Je ne suis pas du tout dans l’écriture, j’ai juste eu une histoire en tête un jours et tout un tas de personnages s’y sont greffés. Du coup j’ai commencé à l’écrire tel un récit.
    Or j’ai cru comprendre que l’ont pouvait (et devait) l’écrire de façon linéaire et factuelle pour commencer.
    Et comme j’ai l’intention de reprendre entièrement l’histoire.
    Qu’est-ce que vous me conseillez pour recommencer ce récit ?

    Merci pour votre temps ! ^^

    1. Bonjour Pierre,
      Scrivener permet de créer des liens internes, qui renvoient à une fiche par exemple. Le lien créé apparaît en bleu, mais vous pouvez ensuite ajouter les couleurs à la main. Par contre, ce sera manuel, car Scrivener ne crée pas automatiquement de tels liens.

      Concernant votre seconde question, il est toujours plus difficile de corriger une histoire que de la réécrire entièrement. Beaucoup d’auteurs aiment écrire en suivant un synopsis précis écrit au préalable, mais il existe une autre manière de procéder. Si vous maîtrisez les principes de base de la dramaturgie, vous pouvez écrire de scène en scène, en construisant le conflit et l’escalade dramatique, tout en préservant le naturel d’un récit écrit à hauteur de personnage. Voici donc ma réponse : écrire pour écrire, en croyant que le récit se construit, c’est souvent se tromper soi-même. À la fin, on a une pile de feuillets et un ensemble d’actions, mais pas un récit. C’est la raison pour laquelle les auteurs débutants sont obligés de réécrire : à force de reprendre sans cesse leur travail, ils finissent par acquérir une compréhension intuitive de ce qu’est une histoire. Par contre, vous pouvez gagner du temps en étudiant, par exemple, les livres d’Yves Lavandier ou de Patrick McKee.

        1. Bonjour Guy, je parcours tes commentaires avec grand intérêt car je souhaite passer à Scrivener pour rédiger mon roman. Tu mentionnes avec raison les ouvrages de Yves Lavandier (inconrtournables) et de Patrick McKee mais je pense que c’est de Robert McKee que tu voulais parler. Bonne soirée et merci pour ton précieux travail. bernard

          1. Bonjour Bernard,
            C’est évidemment de Robert McKee qu’il s’agit. Le Patrick vient probablement d’une association d’idées : McKee –> Irlande –> Saint Patrick –> Patrick McKee.
            Merci de m’avoir signalé l’erreur, que je m’en vais traquer sur mon site.
            Bonne soirée à toi.

    1. Merci pour le lien.
      Je viens de jeter un coup d’œil. L’avantage est qu’il s’agit d’un site internet, donc accessible sur toutes les plateformes. L’inconvénient, c’est qu’il faut être en ligne pour écrire. Je n’ai pas regardé les fonctions d’édition, mais elles doivent être sommaires : sans doute pas ou peu de styles, de gestion des polices et des paragraphes.

  6. Bonjour,
    J’ai installé Scrivener l’été dernier. j’ai commencé à travailler dessus, surtout les fiches personnages, des résultats de recherche historiques, etc..
    A chaque fois que je cliquais sur l’icône, je me retrouvais avec mon projet en cours.
    J’ai laissé ce projet en suspens depuis novembre dernier.
    Je viens de ré-ouvrir Scrivener. Et, là, grosse sueur froide : il ne retrouve pas mon projet. Je me retrouve juste avec les fichiers de démo en anglais.
    j’ai recherché sur « documents » et sur « scrivener » au sein de l’arborescence. Je ne retrouve rien. Si j’ai bien compris je devrais avoir mon projet en rtf quelque part… Mais même si j’ai bien des traces de sous dossier datant de novembre, je ne trouve rien d’exploitable qui s’ouvre sous Scrivener.
    Merci d’avance pour toute aide !

    1. Bonjour,
      Vous devez chercher des dossiers compressés avec une extension .scrib. Ils devraient se trouver dans vos documents.

  7. Bonjour,
    Merci pour votre réactivité. Je viens de réussir à régler mon problème mais de façon un peu trop artisanale pour être rassurante.
    Je me permets de détailler (je ne veux pas polluer votre blog mais je pense que d’autres pourraient utiliser ces explications) :
    1-J’ai retrouvé l’endroit où est la dernière sauvegarde. C’est dans « scrivener backup ». Les sauvegardes sont classées par date. Il y avait 5 éléments : 4 dossiers (file, icons, setting et snapshot) et un fichier en scrivx (et non en scrib). En cliquant sur ce scrivx ça m’ouvre bien Scrivener mais avec un message : »le fichier n’est pas accessible en écriture. accès refusé ».
    2-J’ai « juste » copié l’ensemble de ce backup dans un autre fichier, créé pour ça dans dans mes documents : les 5 éléments. Et là, en ouvrant Scrivener puis « fichier-ouvrir », j’ai juste indiqué le chemin vers mon fichier créé pour l’occasion et choisi le scrivx. Et ça fonctionne. Vérification faite (j’ai fait 2-3 modifs), le backup se fait bien, à sa place « normale » : dans l’arborescence de Scrivener et non dans mon fichier de récup’.
    3-NB: il faut bien tout déplacer sinon Scrivener s’ouvre sur le bon projet mais ne trouve pas les fichiers liés.
    Donc pour l’instant je respire mieux. En espérant que ça dure. Je pense que le bug a eu lieu lors d’une mise à jour de windows. En espérant que ça ne se répète pas trop souvent….
    Allez, bonne écriture à tous.

  8. Bonjour,
    Je viens d’acheter Scrivener et Antidote pour iPadOS 13.6
    Je ne parviens pas à savoir si Antidote peut être intégré à Scrivener.
    Pourriez-vous me renseigner ?
    Merci par avance.
    Cordialement,
    Pixef

    1. Bonjour,
      J’ai constaté que le lien fonctionnait effectivement mal, mais il mène bien au modèle. Vous pouvez le télécharger en effectuant un clic droit sur le bouton et en enregistrant le contenu lié sur votre ordinateur.

  9. Merci Guy. Petite question : j’ai parcouru l’ensemble des questions et de vos réponses sur le sujet « Scrivener meilleur logiciel d’écriture », et en 2017, octobre et novembre vous disiez en répondant à deux internautes que Scrivener était devenu obsolète d’un point de vue technique. Je vous ai connu en cherchant des formations sur ce logiciel. J’ai terminé mon roman (Roman à suspens historique), que j’avais voulu commencé en l’écrivant avec Scrivener, mais j’avais pensé à l’époque (c’était il y a un an) que cela me prendrait trop de temps pour l’appréhender, du coup, je l’ai écrit sur Google docs (pour ne pas avoir de problèmes de sauvegarde, et surtout de pouvoir l’écrire de n’importe quel appareil, en ou hors connexion). Aujourd’hui, pour la deuxième partie de ce roman (le deuxième et dernier tome), je souhaite structurer mon écrit et utiliser Scrivener. Donc, 3 ans après, quand bien même vous faites des formations sur ce logiciel, quel est votre avis dessus, est-il au top comme logiciel partenaire des écrivains entre autre, ou s’est-il fait dépasser sur certains critères ?
    Merci d’avance
    Gérard

    1. Bonjour Gérard,
      Scrivener 3 pour Windows est annoncé pour 2020, après un retard de deux ans. Voici les nouveautés (traduction Google) :
      – L’interface a été repensée et modernisée.
      – Compile a été repensé et est maintenant non seulement beaucoup plus facile à utiliser mais aussi plus flexible.
      – Le système de texte a maintenant un système de styles complet (qui est encore plus puissant lorsqu’il est utilisé avec le nouveau Compile).
      – Affichez les fiches sur les fils colorés en fonction de la couleur de l’étiquette (idéal pour suivre différents scénarios ou toute autre chose).
      – Epub 3 et une exportation Kindle améliorée ont été ajoutés.
      – Gardez une trace de ce que vous écrivez chaque jour à l’aide des statistiques d’écriture.
      – Les métadonnées personnalisées améliorées vous permettent d’ajouter des cases à cocher, des dates et des zones de liste à l’inspecteur et à l’outliner.
      – Contour amélioré.
      – Filtrage des panneaux de liège et des contours.
      – Reportez-vous à quatre documents maximum dans la fenêtre principale en utilisant les nouvelles fonctionnalités «Porte-copie».
      – Trouvez rapidement n’importe quel document de votre projet à l’aide du nouvel outil de recherche rapide.
      – Voir les barres de progression du brouillon et de la session dans la barre d’outils.
      – La nouvelle fonctionnalité puissante des signets remplace les notes de projet, les références et les favoris et vous permet d’afficher les documents souvent nécessaires directement dans l’inspecteur.
      – Utilisez «Dialogue Focus» pour sélectionner tous les dialogues de votre texte.
      – Exportez du texte enrichi vers MultiMarkdown ou Pandoc.
      – Prise en charge étendue des formats techniques via la sortie Markdown et le post-traitement personnalisé.
      – macOS:
      – Prise en charge étendue de la barre tactile ajoutée.
      – Base de code modernisée et réécrite pour 64 bits.
      Scrivener est plus rapide, plus stable et prêt pour l’avenir

      Comme vous pouvez le constater, les améliorations sont surtout techniques. Il s’agit d’un toilettage plus que d’une nouvelle version. J’estime aujourd’hui que l’essentiel est l’interopérabilité, la sauvegarde facile sur le cloud, la compatibilité intégrale avec les styles des traitements de textes, le contrôle complet sur les fichiers d’ebook (en partant d’un texte html « propre »), les métadonnées, etc. Sur tous ces points, Scrivener ne répond pas à mes attentes. Si vous avez besoin d’organiser votre travail, ce logiciel peut vous aider, mais je n’ai pas l’intention de le réutiliser quand la version 3 sera parue.

  10. Autant pour moi Guy, ce n’est pas vous qui avait mis en place des sessions de formation, mais ça ne change rien à ma question, Scrivener toujours au top ?
    Merci d’avance

    Ps: je vais me plonger sur « Effondrement »

  11. Merci de votre réponse. Bon ! Je vais tenter quand même Scrivener pour la suite de mon roman, histoire de structurer mon travail. Google docs est simple, mais il faut quand même évoluer.
    J’ai commencé « Effondrements ». Bien qu’habitant Paris-Est, l’atmosphère de votre histoire se déroulant Paris-Ouest me parle, ne serait-ce du fait que cela reste dans la région (quand bien même il y a un grand écart d’habitude de vie entre ces 2 régions antipodes). L’atmosphère de l’histoire est pour l’instant très réaliste, ce que j’aime beaucoup. La pluie aidant je m’y penche toute la journée. Bon dimanche.

    1. Bonjour Gérard,
      Scrivener n’est pas un mauvais choix quand on est conscient de ses limitations. Il s’agit avant tout d’un outil d’organisation, qui permet de tenir ses idées bien rangées et accessibles. Mes propres besoins ne correspondent plus à cela, car j’utilise un système personnel de classement et de gestion des données, mais nous sommes tous différents.
      Merci de me lire. Je sais qu’il y a une énorme différence entre l’est et l’ouest. Les Yvelines, en particulier, sont un département à part dans la région parisienne, au moins par ses concentrations de grandes fortunes.
      Le réalisme est mon choix le plus profond. Je suis conscients que je pourrais, en m’en affranchissant, écrire des intrigues plus spectaculaires, mais je perdrais ainsi toute motivation à écrire. Je serais très heureux de connaître votre avis sur mon livre quand vous l’aurez terminé, d’autant que vous écrivez vous-même.
      Bon dimanche à vous.

  12. Merci Guy, ce sera avec plaisir et d’ailleurs je comptais vous en faire retour (en vous ayant demandé au préalable si vous le souhaitiez bien entendu). J’ai commencé hier « Effondrements », il me reste donc 4h de lecture sur les 7h qu’annoncait ma liseuse, « Auréoles » m’attends par la suite. À mi-mandat, je veux dire à mi-lecture, j’apprécie réellement cette fiction réaliste, les personnages évoluent dans un cadre actuel avec des protagonistes existants, tel notre ancien ministre évoqué, Mr Produit de Défiscalisation (j’évite de spoiler). L’affaire est ténébreuse et hautement réaliste, les différents thèmes sont d’actualités, les personnages sont dans le ton. Quelques remarques à faire sur certains des protagonistes (dans leurs caractères et comportements) que je compilerai à la fin de la lecture de cet entraînant polar, d’ici 48 h je pense. A très bientôt et bon dimanche à vous aussi.
    Gérard,

  13. Bonjour Guy, je viens de terminer votre œuvre. Alors premièrement, c’est un bon polar avec tout ce qu’il faut pour tenir en haleine, Je trouve le schéma narratif, précisément actanciel bien établi, pas de fausse note. Je retrouve dans vos écrits le même réalisme de description des scènes que chez un Adler Olsen (avec la mesure d’un pays et d’une société différente bien sur). Les personnages sont des policiers, donc il pourrait être très caricaturaux, mais dans l’ensemble, là, ils ne le sont pas, ils sont finalement humains, avec leurs états d’âmes, leurs faiblesses, leurs « fantômes » si je puis dire, et ils doivent comme tout un chacun se débattre avec.
    Le lieu, il est important, on est en banlieue ouest très cossue, lieu d’habitation privilégié des « grandes » familles et vieux nobles encore existants, avec leurs codes et cette impression qu’ils n’ont de compte à rendre à personne (encore plus fort que la monarchie absolu). Bref ! tout est en place pour un bon polar.
    L’histoire déjà, elle tient bien la route, et surtout ce que j’ai aimé, mais ça on le découvre que tardivement, vous aller à contre-pied de la règle numéro un du Décalogue de Knox, car on suit les pensées d’un des intrigants, et même la, vous nous induisez finalement en erreur. Chapeau ! finement joué ! comme on dit. Je n’en dirais pas plus sur l’histoire, je laisse au lecteur d’y plonger. Les personnages, dans l’ensemble réalistes, on plonge tous dans leurs pensées à un moment ou à un autre, et cela permet de mieux connaître leurs pensées, et leurs places dans l’histoire.
    Alors, deux critiques sur le sujet sur ces dernier. D’abord, sur le personnage du divisionnaire Octavien, je pense qu’ aujourd’hui, ce type de bonhomme avec ses blagues de vieux racistes (ou plutôt, comme souvent, nostalgique d’une domination coloniale qu’ils n’ont pas connu), je pense que ce n’est plus beaucoup d’actualité, je veux dire par là que bien sur, ce type de personne existe encore, et d’ailleurs dans tous les secteurs, mais un Joseph aujourd’hui serait à même à y répondre et se défendre, car l’époque des blagues « banana » est quand même révolues, maintenant du faits des lois antidiscriminatoires, ce racisme « beaufs » est plus dans les non-dits et se répercutent plus dans les actions (du style ralentissement dans une évolution professionnelle à contrario de ses collègues). Bref, c’est mon sentiment pour ce personnage, je trouve qu’on entend pratiquement plus parler un manager comme cela aujourd’hui. Ceci dit, le personnage de Joseph, intelligent mais peu sur de lui , s’y prête aussi, donc vous voyez je donne les arguments du pour et du contre.
    Le deuxième personnage, Alaric, je trouve aussi Guy, qu’il reste dans la même veine des flics qui travaillent à l’instinct et qui réussissent à démêler leurs enquêtes, mais ma question Guy, pourquoi ont-ils toujours des vies de « merde », toujours un peu dans la « loose » relationnelle, je sais que c’est le métier qui vaut ça, et qu’il y a un taux de divorce et de suicide important dans cette profession, mais ces personnages sont toujours très sombre, difficile à cerner, on ne sait jamais pourquoi ils sont comme ça. Non, ils le sont, et on doit les prendre comme ça. Voila, c’était une interrogation. J’ai vraiment aimé votre polar et je le recommande vivement, car il est très bien écrit.
    J’en ai profité pour lire « Auréoles », qui était plus rapide à lire, et là, encore une fois chapeau (Non, non ! a tous ceux qui nous lisent, je ne connais pas Guy personnellement, mais j’aime à reconnaitre le talent quand il se présente. Cette petite histoire est rondement menée, avec un Joseph mis en avant et plus actif, mais toujours maladivement avec peu d’assurance en lui (on aimerait bien qu’il se renforce un peu, car c’est un personnage avec un bon potentiel pour moi). Cette histoire est bien ficelée, et même sur un format court, vous arrivez à nous tenir en haleine dans cette horrible histoire avec d’incroyables retournements au final.
    Voila, et pour finir Guy, je viens  » d’Amazoner » Embrasement et votre tout dernier,  » Le sang de nos pères », Week end chargé en perspective.

    Encore bravo à vous,

    Gérard

  14. Bonjour,
    Tout d’abord joyeux reconfinement ! Je plaisante bien sûr, courage pour cette période. Je vous remercie pour votre site et vos précieux conseils. J’ai essayé de télécharger votre modèle en faisant un clic droit, mais lorsque j’essaie de l’importer dans Scrivener, j’ai ce message « le fichier n’est pas un fichier de projet Scrivener ». Auriez-vous une idée de ce que je peux faire ? Je dois dire que je suis presque plus intéressée par votre modèle que par Scrivener ! Et merci beaucoup aussi pour la découverte de Yves Lavandier.

  15. J’ai acheté scrivener et je trouve l’organisation des sauvegardes très très compliquée, elle ne suit pas une logique pragmatique telle que word. Le logiciel va jusqu’à renommer les projets, c’est incompréhensible. J’ai d’ailleurs perdu définitivement un document.Un conseil en phase apprentissage, gardez bien vos textes sous word ou autre.
    Le deuxième souci est qu’en cherchant de l’aide à l’apprentissage, il y en a très peu sur le sujet.
    pour finir je trouve le visuel du texte pas très net mais ce doit être une histoire de réglages….

    1. Merci pour votre témoignage. Je n’utilise plus Scrivener depuis longtemps, et je constate que de nombreux utilisateurs s’en détournent comme moi.

    2. Bonjour,
      Je n’utilise surtout plus de TTX comme Word, trop lent et pertes de données trop courantes, à mon sens, sur mon MacPro qui date. La logique de l’organisation est limpide… mais pas au début. Je décompose les chapitres (en créant une icône de dossier, facile, avec clic droit) puis je crée ou glisse la scène, etc. Je n’ai pas eu à me plaindre de perte de données, si ce n’est entre mon smartphone/tablette quand j’oublie d’activer la synchronisation cloud (via Dropbox).

      J’utilise Dropbox depuis 3-4 ans avec Scrivener. C’est le seul problème lié avec la tablette/iPhone. Et comme disait Guy auparavant, le cloud est mal géré, mais faisable (je ne peux pas utiliser la dernière version 3 sur mon MacOS), mais ça fonctionne.
      Le backup est paramétrable sur disque local, genre toutes les x sauvegardes, etc.

      Je n’ai pas approfondi la doc, ne connaissant pas assez l’anglais, il y a quelques YouTube en français.
      Le texte en Times New Roman zoomable ou en caractère 16 (ou les 2) me paraît parfait. Il faut préparer cela via le modèle (je n’ai pas testé le modèle fourni par Guy Morant.

      Pour rien au monde (mais je peux m’adapter), je ne changerais de logiciel, pour diverses raisons. Comme la sauvegarde au bout de qlq secondes (paramétrable) et sans qu’on sente un ralentissement. Ça fait 30 ans que je connais les logiciels de TXT que j’ai vu évoluer. Si j’avais utilisé Word, j’aurais vite abandonné l’écriture. Le TXT ne fait que traiter du texte. Aucune souplesse. Autant utiliser InDesign !

      Scrivener me semble productif, car efficace.

      Remarque : attention à l’export en RTF, il me tronque la fin d’un paragraphe tous les 10-15 000 mots.

  16. Bonjour,
    J’ai un problème avec scrivener. Est-il possible de modifier les réglages pour créer des lignes de dialogues plus espacées ? Je ne sais pas si ma question est claire… J’aimerais que ce soit comme Word lorsqu’on affiche un tiret, est-ce possible ?

  17. Bonjour Guy
    je me trouve dans la même situation que Denis, sauf que moi jeune suis pas doué en informatique.
    les backups c’est quoi.
    Et impossible de retrouver quoi que ce soit .j
    Je n’arrive pas a faire ce que vous dites et pourtant j’ai suivis la formation avec Eric qui est formidable pour moi.
    Merci d’avance pour l’aide
    Cordialement
    Blondine

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