Lucie Acamas et l'armée de Gaïus - Kouvertures.com

Lucie Acamas et l'armée de Gaïus

Dans la ville occupée

Enfermée derrière un rideau de feu, la ville de Zénia est occupée par l’« empereur Gaïus » et les mercenaires shaonis. Lucie Acamas fuit pour échapper à l’emprisonnement, à la mort ou à un sort plus terrible encore. Ses parents ont disparu et elle est rejetée de tous. Désespérée, elle ignore comment elle survivra jusqu’au lendemain.

Une rencontre change tout : celle d’un camarade qu’elle considère comme son ennemi, et qui se trouve dans une détresse plus grande encore que la sienne. En le prenant en charge, elle apprend à oublier sa peur et à vaincre son sentiment d’infériorité, pour affronter le maître des lieux, ses serviteurs et ses créatures artificielles.

Toujours en fuite, elle obtient l’aide d’un ami et d’un garçon mystérieux, qui semble en savoir plus que quiconque sur ce qui se passe dans la ville.

 

Gaïus, les Shaonis et les Frères de la Nuit

Dans ce volume, on découvre que Gaïus n’est pas un tyran isolé, un fou ivre de vengeance. Deux groupes participent à l’occupation de la ville : les mercenaires Shaonis et les Frères de la Nuit.

Lucie Acamas et l’armée de Gaïus

ISBN 13 (édition KDP) : 978-1511906982

Longueur : 264 pages

Publication : 16 mai 2015

Disponible sur : Amazon, Kobo et Audible

Dimensions (édition papier) :
13.97 x 21.59 cm (5.5″ x 8.5″)

Fiche technique

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Audiolivre

L'auteur

Guy Morant, par Caroline Lemoine
Crédit photo : Caroline Lemoine

De la littérature de jeunesse au polar

Il y a quelques années à peine, Guy Morant pensait être un auteur de jeunesse, écrivant des livres comme Le sachet de bonbons ou Lucie Acamas et les Compagnons de l’Ordre Vert. Depuis décembre 2014, il avait publié quatre romans et une novella, et aucun changement ne s’annonçait à l’horizon. Ça, c’était avant de découvrir l’univers du polar. Un jour, allez savoir pourquoi, il s’est mis à lire Miséricorde, de Jussi Adler Olsen. À sa grande surprise, il a aimé ça. Incurablement infecté par le virus, il s’est mis à avaler compulsivement les histoires les plus sanglantes et les plus lugubres, ne s’arrêtant que pour manger ou pour dormir. Ce qui devait arriver arriva : deux ans plus tard, Effondrements était né.

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